Nos thèmes de campagne : Les Bas Prés de la Lys, des zones à préserver

Publié le par lise daleux

lise-et-daligny-avec-drapea.jpg 
Environnement
 
« Assumer une vraie politique de la nature et organiser les filières des énergies renouvelables »
 
Constats :
Nos territoires sont sans cesse dégradés par des pollutions de diverses origines :
-Pollutions de l’air : émissions industrielles, émissions de gaz à effet de serre, par le transport routier des marchandises.(Houplines) et par le chauffage, utilisation excessive des voitures, due notamment aux problèmes de l’étalement urbain dans les Weppes
-Pollutions des sols ; friches industrielles, décharges autorisées (dépôt de gravats pour remblais à Frelinghien), pollution des sites naturels en asséchant les zones humides (rives de la lys), Epandages agricoles par l’utilisation de produits phyto-sanitaires
 
Nous proposons :
1)       De mettre en place une alternative au nucléaire et de réduire nos émissions de gaz à effet de serre, par la diminution des déplacements routiers, avec un programme de maîtrise des consommations d’énergies et un développement des énergies renouvelables pour les particuliers, les collectivités et les industries.
2)       De sauvegarder les sites naturels garant de nos écosystèmes, notamment dans les Weppes.
3)        De soutenir les associations locales de défense de l’environnement, les associer au débat de l’aménagement et des devenirs de ces sites.
4)       .De soutenir une agriculture de proximité, en mode raisonné tendant vers le biologique.
5)       D’interdir les cultures OGM en milieu ouvert.
6)       De favoriser le maraîchage et les filières locales dans un circuit court, du producteur au consommateur.
7)       De sanctuariser les terrains à vocation de maraîchage.
 
Les Bas Prés de la Lys, des zones à préserver
 
Quelle planète laissons-nous à nos enfants ?
Quels enfants laisserons nous à la planète ?
 
La Lys qui arrose la partie armentiéroise de la 11ième circonscription recèle des zones humides appelées les BAS PRES de la LYS. Ces berceaux de la biodiversité abritent des écosystèmes indispensables à la vie végétale et animale. De plus en plus morcelés par les constructions, l’étalement urbain, les remblais, les dépôts de crans et les infrastructures routières, ces sites qui s’amenuisent ont de moins en moins la capacité d’assurer la pérennité des cycles de vie.
 
Pierre Rabhi éminent penseur et acteur de l’écologie nous appelle à prendre conscience de la symphonie de la vie dont nous faisons partie.
« La Terre-Mère » au-delà de la métaphore poétique, est régie par une intelligence mystérieuse et immanente dont la logique est fondée sur la cohésion du vivant. « Nous abstraire de cette logique, tenter de la dominer ou la transgresser est une dangereuse illusion ». Nos rapports à la planète sont discordants, il nous faut rétablir la concordance d’urgence.
 
Comme candidats aux législatives, nous estimons que ces zones doivent faire l’objet d’un recensement exhaustif qui permette de préciser les secteurs à préserver et leurs fonctions locales dans la maintenance des écosystèmes. Ces sites à sanctuariser devront faire l’objet d’aménagements particuliers permettant leur sauvegarde et leur mise en valeur.  La découverte de ces sites pour comprendre leur utilité outre leur beauté, nécessite de la pédagogie.
Les associations locales de défense de l’environnement y contribuent.
La législation doit accompagner ces efforts et doter de moyens la mise en œuvre de cette préservation.  
 
 
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article